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La population prend véritablement conscience de l’intérêt du développement durable lorsque de grande catastrophes écologiques touchent la planète : SEVESO, TCHERNOBYL, ou plus encore la FRANCE (Vaison la Romaine le 22/091992, Toulouse l’usine AZF le 21/09/2001).
De même l’épuisement des ressources naturelles ne commence à prendre de l’importance que lorsque le prix du baril de brut commence à déraper. Quant au réchauffement de la planète, il n’inquiète qu’au cinéma lorsque le film est à gros budget.
Pendant ce temps, dans la quasi indifférence générale, on commence à parler de réfugiés climatiques, on murmure que l’acidification des mers pourrait à terme empêcher crustacés et mollusques de fabriquer leurs exosquelettes, on suppose que le ralentissement de la circulation des courants dans les océans aurait pour conséquence de saturer les eaux superficielles en CO2, qui en se réchauffant seraient dans l’incapacité d’absorber suffisamment de dioxine de carbone…
Le congrès des notaires s’est articulé sur le travail de quatre commissions :
• gestion économe des sols,
• gestion prudente de la ressource en eau et des espaces naturels,
• risques et activité professionnelle,
• information et participation des citoyens.
Nous retranscrivons ici les propositions de chacune de ces commissions.
Cette étude de Sylvie BOUCHET comporte 5 pages et date de juillet-août 2008.
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