Par Bruno Pays, Professeur affilié à Paris School of Business
À l’heure des grands rendez-vous électoraux, il semble de circonstance de rappeler que l’IFI est souvent désigné comme l’impôt du quinquennat qui s’achève. Mis en place en 2018 pour opérer un compromis entre la suppression de l’ISF et le maintien d’une imposition du capital, il a subi à la fois les critiques des détracteurs d’une telle imposition et des partisans de son rétablissement. Pourtant, l’IFI aborde son cinquième exercice et s’illustre depuis sa création par une réelle stabilité fiscale, les trois dernières lois de finances ne lui ayant apporté aucune modification.
Dans cette période propice aux évolutions politiques et économiques, un bilan de l’IFI paraît utile (I), l’ouverture de la campagne de déclaration invitant à en rappeler les particularités (II) ainsi que les possibilités d’optimisation fiscale (III).
I- Bilan et perspectives
II- Particularités
III- Optimisation fiscale
Cette chronique comporte 8 pages et a été publiée en Mai 2022.
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